Samba Résille coordonne un consortium d’organisations du secteur de l’éducation des adultes dans le cadre du programme Erasmus+. Elle est ainsi détentrice d’une accréditation Erasmus+ dans le secteur de l’éducation des adultes en tant que coordinatrice de ce consortium ; une accréditation qui couvre la période allant de 2021 à 2027.
Avoir une accréditation garantit des financements de mobilités européennes sur la période 2021-2027 ; des financements demandés chaque année par Samba Résille pour l’ensemble des besoins du Consortium, et donc de ses membres.
Le consortium est composé, actuellement, de quatre organisations : Le COCU (Comité d’Organisation du Carnaval Unifié), La Maison du Vélo, Tia Paula et Samba Résille.
Faire partie du consortium signifie que ses membres : – Partagent des valeurs. – Poursuivent des objectifs communs. – Veulent utiliser les possibilités de mobilité en Europe offertes par Erasmus+ pour améliorer leurs actions locales.
Les objectifs du Consortium
Objectif 1 : Élargir son audience et associer de nouveaux acteurs pour continuer de faire vivre une gouvernance partagée et ouverte à tous Cet objectif est relié au défi d’élargir la diversité des audiences en termes d’âge, de profils sociaux et/ou d’expériences. Cet impératif partagé entre tous les membres et qui s’impose à toute organisation associative afin qu’elle puisse assurer sa pérennité et sa longévité, s’inscrit dans une logique de construction de parcours d’apprentissages suffisamment inclusifs pour susciter en chacun la motivation de poursuivre son apprentissage et de mettre à disposition d’autres ses propres acquis. Dans une logique de « leadership de transition », il s’agit de faire monter en compétences de nouvelles personnes susceptibles de s’investir dans le développement d’activités et qu’à leur tour, elles deviennent référentes en charge d’une action d’animation, de formation, de pilotage d’action ou encore de participation aux décisions stratégiques. Il s’agit ainsi de renouveler les équipes d’acteurs clés impliqués dans la mise en œuvre des projets associatifs des organisations membres du Consortium.
Objectif 2 : Accroître les accompagnements dans les apprentissages et diversifier l’offre d’activités de formation Cet objectif est relié au défi : – d’acquisition des compétences techniques et technologiques par les personnels bénévoles et salariés qui permettent une mutation vers le numérique des apprentissages et des enseignements – de développement de ressources d’apprentissages mise en ligne – de développement de l’audience par l’apprentissage en ligne
Il s’agit ainsi de permettre aux organisations membres du Consortium d’adapter leurs contenus pédagogiques et leurs modes de transmissions des ressources aux nouvelles opportunités qu’offrent le numérique que ce soit en termes d’élargissement d’audience au-delà du public captif local ou régional, de la mise en place de classes virtuelles mixtes avec des partenaires européens ou internationaux ou encore d’espaces partagés de ressources pédagogiques dans le cadre de réseaux européens d’apprentissages dans le domaine de l’éducation des adultes. Cet objectif vient appuyer le besoin « d’apprivoiser » le numérique comme canal pour apprendre et enseigner.
Objectif 3 : Réduire les coûts de production grâce à une stratégie raisonnée de consommation qui s’appuie sur des circuits courts, le recyclage et le développement des modes de déplacements doux. Cet objectif est lié au défi de diminuer les coûts de production et de restructurer les modèles économiques des organisations membres du Consortium en proposant des solutions concrètes qui s’inscrivent dans un respect de l’environnement et dans le développement durable. Des avancées sont recherchées sur des comportements vertueux et de nouveaux réflexes à acquérir plus respectueux de l’environnement et soucieux d’économie dans la consommation de matières premières utiles aux productions créées. L’enjeu est que le personnel du Consortium puisse acquérir des compétences dans de nouveaux processus de production à base de recyclage qui soient aussi performants que ceux existants d’un point de vue technique, esthétique et sécurité des personnes lors d’espaces de démultiplication des apprentissages, en ligne ou en présentiel, favorables à l’éducation aux modes doux de transports ou encore la construction de chars de carnavals sans utilisation de camions à moteurs par exemple.
Objectif 4 : Créer des écosystèmes favorables à l’inclusion, l’implication et au vivre ensemble, en créant et en développant des situations de coopération interculturelles locales, européennes et internationales Cet objectif est lié au défi de faire vivre la diversité culturelle, que ce soit au niveau local, européen ou international, par l’accroissement des opportunités de coopérations et d’échanges interculturels, l’inscription dans des réseaux européens et l’acquisition de compétences clés, sociales et transversales. Cet objectif vise ainsi à : – accroître la diversité des profils des apprenants et personnels en lien avec l’objectif 1 – créer des synergies coopératives locales, européennes et internationales en lien avec l’objectif 2 – faciliter l’implication de chacun dans la formation non formelle y compris en passant du statut d’apprenant membre du personnel – accroître les opportunités de coopérations interculturelles sources d’inclusion et de bien-être personnel et/ou professionnel, localement ou au niveau européen, y compris dans le cadre de mobilités apprenantes physiques ou virtuelles – créer des écosystèmes de diversité culturelle favorables à l’inclusion et à la cohésion sociale
LES MEMBRES DU CONSORTIUM
A bout de souffle
Bajo El Mar
Beart
Contre chant
COCU
IDC
Maison du vélo
Le Polymorphe
Tia Paula
Samba Résille
A bout de souffle
Sous la direction artistique du chef d’orchestre Stéphane Delincak et du metteur en scène Patrick Abejean, l’Ensemble À bout de souffle propose des créations scéniques percutantes du répertoire lyrique.
À bout de souffle joue dans de grandes salles comme Odyssud, scène conventionnée de Blagnac, l’Aria de Cornebarrieu, la Scène nationale d’Albi, la Halle aux grains à Toulouse, le Pin galant à Mérignac, et sillonne le territoire, de Saint-Gaudens à Montpellier, de l’abbaye de Sylvanès au centre culturel de Sarlat…
Depuis 2010, l’Ensemble À bout de souffle monte des opéras : Castor & Pollux, Platée, Anacréon de Rameau, Actéon de Charpentier, The Fairy Queen de Purcell ; des spectacles originaux : Maintenant que le ciel, madrigaux autour de Monteverdi, Gabriel Fauré : Le grain de la voix, Mistero Buffo de Dario Fo accompagné par Bach et Vivaldi, et des formes concertantes : Stabat Mater de Poulenc, Magnificat de Bach, Dies irae de Delalande.
Toutes ces propositions sont également conçues pour des formes atypiques ou déambulatoires, aux jardins du Muséum de Toulouse, les pieds dans l’eau de la fontaine Goudouli pour le festival Toulouse d’été, sur les bords d’une lavogne près de Roquefort-en-Aveyron, dans le parc du château de Laréole (31) et dans l’espace public (transports en commun, parcs, supermarchés…), comme sa dernière création Courant d’airs en rayons, commande du Centre national des arts de la rue, Pronomade(s) en Haute-Garonne.
Ces formes multiples touchent des publics différents et donnent aussi lieu à des actions d’éducation artistique et de médiation, notamment auprès de scolaires et de personnes âgées, en particulier grâce au soutien de la Drac Occitanie, de l’ARS et des agences départementales pour la culture de la région Occitanie.
À bout de souffle, association reconnue d’intérêt général, est régulièrement soutenue par la Drac Occitanie, la région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée, le conseil départemental de la Haute-Garonne, la ville de Toulouse et la Spedidam et bénéficie de divers mécénats privés.
Bajo el Mar est une association culturelle qui a pour valeur fondamentale la culture comme liant essentiel “du vivre ensemble” ; militant pour une culture accessible à tous et pour tous. La mission de Bajo el Mar est donc la promotion des arts et de la culture. Notre équipe impulse, accompagne et développe des projets artistiques innovants et transdisciplinaires depuis plus de 10 ans.
Acteur majeur du territoire culturel local, Bajo el Mar est reconnue pour sa nature polymorphe. Son engagement dans les cultures urbaines, la musique actuelle et le spectacle vivant en font un interlocuteur signifiant du secteur culturel.
Aujourd’hui, la diffusion de concert, le développement d’artiste, l’ingénierie de projet et la médiation culturelle sont les 4 volets structurants de son activité.
L’art au service des peuples – Association Loi 1901 à buts non lucratifs qui a pour objet de mettre l’art au service de la coopération décentralisée. L’association achète des œuvres d’artistes ou d’artisans de pays, ou zones en diffi cultés ( guerres, catastrophes naturelles, … ) où nous pouvons nous rendre, puis les revend ici en Europe, l’argent ainsi récolté est réinjecté dans ces mêmes zones géographiques aux seuls bénéfices de coopératives locales ou de projets liés à une activité professionnelle individuelle. Il s’agit d’une forme de commerce équitable.
Contre-chant est un ensemble vocal créé en 2009 par des élèves motivés de la classe de chant de l’École de musique de Muret, de Jean Andreu.
Le répertoire est classique… dans la musique sacrée (Victoria, Saint-Saens, Cesar Franck …) ou la Renaissance européenne. Il est franchement décalé dans le compartiment « variété » (Bocarne, Lapointe …) ou original dans la « pointe » de gospel.
L’objectif du groupe et de son chef de chœur qui privilégie la musicalité et la recherche de la qualité tout en prenant en compte les possibilités individuelles et collectives, est d’interpréter en public un répertoire abouti, cohérent , et aussi plaisant à voir… qu’à entendre.
LeCOCU,Comitéd’OrganisationduCarnavalUnifiéestuneassociationLoi1901.Elle est constituée par un collectif d’acteurs et de citoyens toulousains : associations estudiantines,culturelles, carnavals de quartier et communautaires, individus passionnés par le carnaval. Cette association est régénérée en 2011 du désir collectif de reconstruire un grand carnaval àToulouse, absent depuis plus de 20 ans. Elle a pour vocation d’organiser un carnaval à dimensionde la ville afin que chaque Toulousain puisse s’associer à cet événement. Le COCU associe tous les ans ses 1000 bénévoles dans la mise en œuvre de son projet, et leur permet de participer à faireperdurer des traditions carnavalesques, en les remettant au goût du jour, mais surtout en proposant que ses festivités soientpensées et mises en œuvre par le plus grand nombre. Le COCU est une plate-forme d’échanges de savoirs et savoir-faire, où se croisent des compétences et setransmettent desconnaissances, en vue d’une réalisation commune. Plus qu’une structure organisatrice de manifestations festives, le COCU estun espace où se croisent et se mutualisent les transferts de compétences, et où sont valorisés les acquis par des réalisationsindividuelles et collectives, et que l’on donne à voir en public. Un projet d’inclusion sociale de femmes et d’hommes, d’horizons divers, qui organise des temps partagés propices à la créativité artistique, et qui donne envie à ses membres d’apprendre àapprendre. Le COCU est une association qui a une place importante dans le paysage culturel régional de part la place qu’occupe désormaisle Carnaval, un grand événement de Toulouse, mais également du fait de fédérer et de former tous les ans de nombreuxparticipants, pour qu’ils puissent agir en tant qu’acteurs culturels, professionnels et amateurs avertis. Le COCU mobilise des compétences artistiques, d’organisation, de logistique et de management à la hauteur de l’ambition qu’ils’est fixé, de construire un carnaval qui puisse devenir le plus important en Europe. Il s’est associé dès le départ les compétencesadéquates, notamment de Samba Résille, partenaire fondateur, qui a une expérience dans l’internationalisation et la mise en réseau en Europe, et bénéficie ainsi de transferts de bonnes pratiques et d’outils, pour atteindre ses objectifs de mobilisationlarge et de développement d’une stratégie à l’échelon européen, et s’est associé également des professionnels reconnus pourleur expertise dans leur domaine d’action.
IDC
Initiative et Développement Citoyen (IDC) est une coopérative a but non lucratif fondée en avril 2010 à Lastours, dans le but de promouvoir le développement durable, la mobilité internationale, la citoyenneté active, la coopération mutuelle, l’engagement écologique et la sensibilisation à différentes cultures.
Notre structure gère un petit camping écologique au milieu de la nature, qui tient à promouvoir l’éco-tourisme et la préservation du patrimoine, dans un processus interculturel. Le camping dispose de 20 parcelles pour les caravanes et les tentes. C’est un havre de paix et de sérénité permettant aux campeurs de se ressourcer.
La coopérative organise et accueille également des projets financés par Erasmus qui visent à offrir des possibilités d’apprentissage et de renforcement des capacités aux jeunes. Les projets accueillent des volontaires du monde entier et se concentrent sur des sujets liés à l’échange de connaissances, l’apprentissage sur diverses techniques de communications et du développement durable.
IDC organise différentes activités, événements et ateliers allant des thèmes de la construction écologique, de l’agriculture, de l’entretien des potagers, ou encore de l’accueil des clients. Étant donné que nous nous concentrons sur le développement durable, nous encourageons la participation de bénévoles ou de participants qui apprécient de vivre dans la nature et de comprendre la nécessité d’une préservation écologique.
Dans ce monde où tout va très vite, IDC donne l’opportunité d’avoir une réflexion sur nos mode de vie tout en favorisant le développement personnel de chacun.
La Maison du vélo Toulouse-Occitanie est une association dont le but est depromouvoirunusagerégulierdelabicyclettecommeunesolutiondedéplacement durable, économique et saine. Dans ce sens, elle a rénové et gèreactuellement des espaces de promotion liés à la thématique d’une mobilitéactive, en l’occurrence la bicyclette. Son objectif est de favoriser l’essor des déplacements à vélo en proposant de multiples services : conseils en mobilité, vélo-école, animations et événements, formation, atelier participatif de réparation, location, centre de ressources. La Maison du Vélo regroupe en son sein plus de 2000 adhérent·es dont 12 membres actifs au conseil d’administration. Unevingtaine de bénévoles accompagnent régulièrement les activités de l’atelier participatif, la vélo-école et les animations. De plus,une équipe de 23 salarié·es composée de conseiller·ères en mobilité, des éducateur·trices, des animateur·rices, des mécaniciens,des chargé·es de mission, œuvre au quotidien pour faire vivre l’objet de la structure et développer de nombreux projets etactivités. Située en face de la gare Matabiau à Toulouse, dans une maison éclusière des Voies Navigables de France, la Maison du Vélo estégalement un lieu d’accueil, de rencontres, d’échanges, de création pour de nombreux collectifs. Régulièrement, elle est lethéâtred’initiativescitoyennesengagéesdansledéveloppementdurable,l’entreprenariatsolidaire,ladéfensede l’environnement, l’éducation populaire, les droits des femmes, un espace d’expression pour les diversités. Créée en 2005 à l’initiative d’un collectif composé du CREPI, de Movimento et de Deux Pieds Deux Roues (Association vélo), leprojet a pu voir le jour grâce au concours de plusieurs partenaires. Toutes ces structures ont contribué à l’éclosion de ce projetet sont aujourd’hui pour la plupart toujours à ses côtés.
Le Polymorphe
Le Polymorphe est une compagnie d’arts en espace public. Ses recherches tournent autour de la dramaturgie de l’image et de l’expérience sensible du public. La compagnie voit le jour en 2019 et crée des formes chorégraphiques et plastiques dans l’espace public. Un mélange de textiles, d’installations et de corps et mouvements. Le Polymorphe tente de mettre en lumière des problématiques majeures comme la place des femmes dans l’espace public, la disparition du vivant, les enjeux climatiques actuels….
A travers une démarche d’écriture dramaturgique en panier (cf Ursula Le Guin), le polymorphe tente de créer plusieurs couches de lecture, de confronter des images pour étirer les sens, donner à voir et à ressentir.
Sa première pièce participative NYCTALOPE est une traversée de femmes dans les rues la nuit qui révèlent des situations de tensions lors de parcours nocturnes. NYCTALOPE est sorti en juillet 2021 dans le Festival de Chalon dans la rue dans les partis pris de création et a tourné ensuite en France et à l’étranger.
Pour Nyctalope grâce à Erasmus Plus Nyctalope est allé joué en Finlande et la compagnie a emmené 30 femmes françaises en Finlande.
Tia-Paula est une association humanitaire qui fédère depuis l’an 2009 des administrateurset des animateurs bénévoles autour d’un objectif social, d’éducation et de formation àdestination des femmes et des enfants, les plus démunis dans le monde. Elle a initié en Asie, notamment en Malaisie, sur ses fonds propres, des formations pour que des femmes puissent créer leurmicro entreprise. Cet engagement éducatif a été et est possible grâce à la mutualisation des compétences professionnelles,managériales, organisationnelles et relationnelles de tous les intervenants bénévoles.L’éthique, spécifique à Tia-Paula, repose sur les valeurs de respect, de dignité, d’accompagnement vers l’autonomie, decitoyenneté, de responsabilisation assumée. Elle est partagée par tous les acteurs, au-delà des frontières ou barrièreslinguistiques, culturelles et sociétales. La découverte, l’écoute, le partage, l’apprentissage de nouvelles compétences, sont les ferments de cette dynamique humainequi cible les étapes du recevoir et donner, expérimenter, transmettre.Au-delà de l’Asie, Tia Paula œuvre en France pour des projets émergents dits « au coin de la rue », ou « tout à côté ».Quel que soit l’espace géographique d’intervention, en zone prioritaire ou rurale, les réponses apportées prennent toujours encompte les besoins de ceux qui la sollicitent. Les thématiques développées dans ses activités concernent les arts créatifs, l’Education à l’Environnement et au DéveloppementDurable (EEDD), les activités de remobilisation des capacités cognitives, techniques et physiquesdes personnes en difficulté,l’intelligence émotionnelle, l’Economie Sociale et solidaire (ESS), les TIC créatifs, la prévention de l’obésité infantile dans le cadredu Bien Grandir en Europe, la pratique d’activités de pleine nature et de sport adapté dans le cadre du projet Bien Vieillir enEurope. Depuis 2012 Tia-Paula a initié une dynamique de découverte des programmes européens qui financent la formation tout au longde la vie (EFTLV). Elle a organisé des sessions de formations à destination des associations et structures nationales et régionaleset d’Occitanie. Elle est référencée en tant que « Développeur » au sein de l’Agence Erasmus+. Elle a su fédérer, dans le sens de lacroissance intelligente des territoires et des hommes, d’autres développeurs, dont Samba Résille qui ont mobilisé leurs compétences pour informer, sensibiliser et accompagner les porteurs de projets européens sur la mobilité apprenante. Cettefédérationdecompétencesfavorisel’émergenceetledéveloppementd’initiatives,d’animationsd’ateliers,demutualisationdebonnespratiques,de« construction »etdegestiondeprojetseuropéenssurlesthématiquesde l’environnement, de l’inclusion, de la culture, de l’éducation formelle et non formelle, des arts créatifs et de l’ESS
Samba Résille
Samba Résille, Coordinatrice du Consortium, est une organisation culturelle née en 1992 à Toulouse dudésir de partager en toute diversité un projet associatif qui permette à chacun de se construire en tantque citoyen dans une démarche d’apprentissage expérientiel autour de pratiques créatives et en créantles espaces propices à cette construction. Elle capitalise 30 ans d’expériences qui, aujourd’hui, lui confèrent le rôle de « plateforme artistique etsociale » visant l’épanouissement personnel et/ou la qualification professionnelle des individus qu’elle accompagne. Ellepropose des espaces d’expérimentations et d’études-actions dont les visées d’acquisition de savoirs, connaissances, expérienceset relations sociales renouvelées, trouvent des réponses dans les actions artistiques, éducatives et culturelles menées dans ethors les murs et dans son espace de formation non formelle et d’informations ressources, la plateforme créative européenne. Elle a construit des partenariats institutionnels qui durent depuis 30 ans avec les collectivités locales, Mairie de Toulouse,Conseil Départemental de la Haute-Garonne, Conseil Régional d’Occitanie, ainsi que des services d’État, dont la DirectionRégionale des Affaires Culturelles, et la Direction Régionale de la Jeunesse, des Sports et de la Cohésion Sociale, et a mené denombreux projets en partenariat à l’échelon européen et international.Les domaines d’actions de Samba Résille relèvent de l’animation et de la médiation artistique et culturelle, de la programmationmusicale et d’expositions, de l’accompagnement de projets, de l’enseignement de la musique brésilienne, de la construction dedécorsmobiles pourle spectaclevivantetde l’organisationde manifestationsartistiques d’envergures régionales et internationales. Son expertise est organisée autour de trois pôles de compétences artistiques, pédagogiques et managériales, etson projet associatif cible un large public. Structure ressource pour le secteur culturel et éducatif, elle déploie des outils, despratiques et des compétences, en s’engageant durablement dans la formation non formelle. Samba Résille est composée de 350 adhérents. Elle est dirigée par un Conseil d’Administration de 15 personnes, qui s’appuie surune trentaine de chefs de projets, une vingtaine de techniciens, une vingtaine d’animateurs et une trentaine de formateurs. Elleemploie 6 personnes à temps plein pour le pilotage des actions. Les bénéficiaires directs des actions qu’elle met en place dansleur globalité sont en moyenne tous les ans de 10 000 personnes et de 150 000 bénéficiaires indirects. La typologie de ses membres est diverse : des personnes en poste ou sans emploi, hautement qualifiées ou sans qualification,séniors ou jeune public, primo-arrivants, valides ou en situation de handicap sensoriel et/ou mental. Les membres qui sont dansdes situations d’exclusion sociale et/ou de précarité, font l’objet d’un accompagnement renforcé qui favorise la consolidation de leur parcours personnel et professionnel, en renforçant leurs capacités d’apprentissage et leur désir d’apprendre tout au long dela vie. Ils constituent notre public cible prioritaire. La relation entre Samba Résille et les publics se définit comme un accompagnement souple dans le rythme et le temps quipermet d’explorer différents modes de transmission des savoirs dans l’objectif de : •Favoriser l’expression et la curiosité, l’écoute et l’esprit critique, •Développer les capacités techniques et la communication, •Aider à maîtriser l’environnement social et professionnel, •Encourager la pratique collective et solidaire, •Permettre l’initiative artistique et l’entreprenariat
La Maison du vélo Toulouse-Occitanie est une association dont le but est depromouvoirunusagerégulierdelabicyclettecommeunesolutiondedéplacement durable, économique et saine. Dans ce sens, elle a rénové et gèreactuellement des espaces de promotion liés à la thématique d’une mobilitéactive, en l’occurrence la bicyclette. Son objectif est de favoriser l’essor des déplacements à vélo en proposant de multiples services : conseils en mobilité, vélo-école, animations et événements, formation, atelier participatif de réparation, location, centre de ressources. La Maison du Vélo regroupe en son sein plus de 2000 adhérent·es dont 12 membres actifs au conseil d’administration. Unevingtaine de bénévoles accompagnent régulièrement les activités de l’atelier participatif, la vélo-école et les animations. De plus,une équipe de 23 salarié·es composée de conseiller·ères en mobilité, des éducateur·trices, des animateur·rices, des mécaniciens,des chargé·es de mission, œuvre au quotidien pour faire vivre l’objet de la structure et développer de nombreux projets etactivités. Située en face de la gare Matabiau à Toulouse, dans une maison éclusière des Voies Navigables de France, la Maison du Vélo estégalement un lieu d’accueil, de rencontres, d’échanges, de création pour de nombreux collectifs. Régulièrement, elle est lethéâtred’initiativescitoyennesengagéesdansledéveloppementdurable,l’entreprenariatsolidaire,ladéfensede l’environnement, l’éducation populaire, les droits des femmes, un espace d’expression pour les diversités. Créée en 2005 à l’initiative d’un collectif composé du CREPI, de Movimento et de Deux Pieds Deux Roues (Association vélo), leprojet a pu voir le jour grâce au concours de plusieurs partenaires. Toutes ces structures ont contribué à l’éclosion de ce projetet sont aujourd’hui pour la plupart toujours à ses côtés.
LeCOCU,Comitéd’OrganisationduCarnavalUnifiéestuneassociationLoi1901.Elle est constituée par un collectif d’acteurs et de citoyens toulousains : associations estudiantines,culturelles, carnavals de quartier et communautaires, individus passionnés par le carnaval. Cette association est régénérée en 2011 du désir collectif de reconstruire un grand carnaval àToulouse, absent depuis plus de 20 ans. Elle a pour vocation d’organiser un carnaval à dimensionde la ville afin que chaque Toulousain puisse s’associer à cet événement. Le COCU associe tous les ans ses 1000 bénévoles dans la mise en œuvre de son projet, et leur permet de participer à faireperdurer des traditions carnavalesques, en les remettant au goût du jour, mais surtout en proposant que ses festivités soientpensées et mises en œuvre par le plus grand nombre. Le COCU est une plate-forme d’échanges de savoirs et savoir-faire, où se croisent des compétences et setransmettent desconnaissances, en vue d’une réalisation commune. Plus qu’une structure organisatrice de manifestations festives, le COCU estun espace où se croisent et se mutualisent les transferts de compétences, et où sont valorisés les acquis par des réalisationsindividuelles et collectives, et que l’on donne à voir en public. Un projet d’inclusion sociale de femmes et d’hommes, d’horizons divers, qui organise des temps partagés propices à la créativité artistique, et qui donne envie à ses membres d’apprendre àapprendre. Le COCU est une association qui a une place importante dans le paysage culturel régional de part la place qu’occupe désormaisle Carnaval, un grand événement de Toulouse, mais également du fait de fédérer et de former tous les ans de nombreuxparticipants, pour qu’ils puissent agir en tant qu’acteurs culturels, professionnels et amateurs avertis. Le COCU mobilise des compétences artistiques, d’organisation, de logistique et de management à la hauteur de l’ambition qu’ils’est fixé, de construire un carnaval qui puisse devenir le plus important en Europe. Il s’est associé dès le départ les compétencesadéquates, notamment de Samba Résille, partenaire fondateur, qui a une expérience dans l’internationalisation et la mise en réseau en Europe, et bénéficie ainsi de transferts de bonnes pratiques et d’outils, pour atteindre ses objectifs de mobilisationlarge et de développement d’une stratégie à l’échelon européen, et s’est associé également des professionnels reconnus pourleur expertise dans leur domaine d’action.
Samba Résille, Coordinatrice du Consortium, est une organisation culturelle née en 1992 à Toulouse dudésir de partager en toute diversité un projet associatif qui permette à chacun de se construire en tantque citoyen dans une démarche d’apprentissage expérientiel autour de pratiques créatives et en créantles espaces propices à cette construction. Elle capitalise 30 ans d’expériences qui, aujourd’hui, lui confèrent le rôle de « plateforme artistique etsociale » visant l’épanouissement personnel et/ou la qualification professionnelle des individus qu’elle accompagne. Ellepropose des espaces d’expérimentations et d’études-actions dont les visées d’acquisition de savoirs, connaissances, expérienceset relations sociales renouvelées, trouvent des réponses dans les actions artistiques, éducatives et culturelles menées dans ethors les murs et dans son espace de formation non formelle et d’informations ressources, la plateforme créative européenne. Elle a construit des partenariats institutionnels qui durent depuis 30 ans avec les collectivités locales, Mairie de Toulouse,Conseil Départemental de la Haute-Garonne, Conseil Régional d’Occitanie, ainsi que des services d’État, dont la DirectionRégionale des Affaires Culturelles, et la Direction Régionale de la Jeunesse, des Sports et de la Cohésion Sociale, et a mené denombreux projets en partenariat à l’échelon européen et international.Les domaines d’actions de Samba Résille relèvent de l’animation et de la médiation artistique et culturelle, de la programmationmusicale et d’expositions, de l’accompagnement de projets, de l’enseignement de la musique brésilienne, de la construction dedécorsmobiles pourle spectaclevivantetde l’organisationde manifestationsartistiques d’envergures régionales et internationales. Son expertise est organisée autour de trois pôles de compétences artistiques, pédagogiques et managériales, etson projet associatif cible un large public. Structure ressource pour le secteur culturel et éducatif, elle déploie des outils, despratiques et des compétences, en s’engageant durablement dans la formation non formelle. Samba Résille est composée de 350 adhérents. Elle est dirigée par un Conseil d’Administration de 15 personnes, qui s’appuie surune trentaine de chefs de projets, une vingtaine de techniciens, une vingtaine d’animateurs et une trentaine de formateurs. Elleemploie 6 personnes à temps plein pour le pilotage des actions. Les bénéficiaires directs des actions qu’elle met en place dansleur globalité sont en moyenne tous les ans de 10 000 personnes et de 150 000 bénéficiaires indirects. La typologie de ses membres est diverse : des personnes en poste ou sans emploi, hautement qualifiées ou sans qualification,séniors ou jeune public, primo-arrivants, valides ou en situation de handicap sensoriel et/ou mental. Les membres qui sont dansdes situations d’exclusion sociale et/ou de précarité, font l’objet d’un accompagnement renforcé qui favorise la consolidation de leur parcours personnel et professionnel, en renforçant leurs capacités d’apprentissage et leur désir d’apprendre tout au long dela vie. Ils constituent notre public cible prioritaire. La relation entre Samba Résille et les publics se définit comme un accompagnement souple dans le rythme et le temps quipermet d’explorer différents modes de transmission des savoirs dans l’objectif de : •Favoriser l’expression et la curiosité, l’écoute et l’esprit critique, •Développer les capacités techniques et la communication, •Aider à maîtriser l’environnement social et professionnel, •Encourager la pratique collective et solidaire, •Permettre l’initiative artistique et l’entreprenariat
Tia-Paula est une association humanitaire qui fédère depuis l’an 2009 des administrateurset des animateurs bénévoles autour d’un objectif social, d’éducation et de formation àdestination des femmes et des enfants, les plus démunis dans le monde. Elle a initié en Asie, notamment en Malaisie, sur ses fonds propres, des formations pour que des femmes puissent créer leurmicro entreprise. Cet engagement éducatif a été et est possible grâce à la mutualisation des compétences professionnelles,managériales, organisationnelles et relationnelles de tous les intervenants bénévoles.L’éthique, spécifique à Tia-Paula, repose sur les valeurs de respect, de dignité, d’accompagnement vers l’autonomie, decitoyenneté, de responsabilisation assumée. Elle est partagée par tous les acteurs, au-delà des frontières ou barrièreslinguistiques, culturelles et sociétales. La découverte, l’écoute, le partage, l’apprentissage de nouvelles compétences, sont les ferments de cette dynamique humainequi cible les étapes du recevoir et donner, expérimenter, transmettre.Au-delà de l’Asie, Tia Paula œuvre en France pour des projets émergents dits « au coin de la rue », ou « tout à côté ».Quel que soit l’espace géographique d’intervention, en zone prioritaire ou rurale, les réponses apportées prennent toujours encompte les besoins de ceux qui la sollicitent. Les thématiques développées dans ses activités concernent les arts créatifs, l’Education à l’Environnement et au DéveloppementDurable (EEDD), les activités de remobilisation des capacités cognitives, techniques et physiquesdes personnes en difficulté,l’intelligence émotionnelle, l’Economie Sociale et solidaire (ESS), les TIC créatifs, la prévention de l’obésité infantile dans le cadredu Bien Grandir en Europe, la pratique d’activités de pleine nature et de sport adapté dans le cadre du projet Bien Vieillir enEurope. Depuis 2012 Tia-Paula a initié une dynamique de découverte des programmes européens qui financent la formation tout au longde la vie (EFTLV). Elle a organisé des sessions de formations à destination des associations et structures nationales et régionaleset d’Occitanie. Elle est référencée en tant que « Développeur » au sein de l’Agence Erasmus+. Elle a su fédérer, dans le sens de lacroissance intelligente des territoires et des hommes, d’autres développeurs, dont Samba Résille qui ont mobilisé leurs compétences pour informer, sensibiliser et accompagner les porteurs de projets européens sur la mobilité apprenante. Cettefédérationdecompétencesfavorisel’émergenceetledéveloppementd’initiatives,d’animationsd’ateliers,demutualisationdebonnespratiques,de« construction »etdegestiondeprojetseuropéenssurlesthématiquesde l’environnement, de l’inclusion, de la culture, de l’éducation formelle et non formelle, des arts créatifs et de l’ESS
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