Nyctalope à Helsinki – Finlande / du 4 au 20 octobre

Rencontre avec Caisa, Helsinki Programme Erasmus+ KA1 Mobilités des adultes – La pépinière des émergences créatives – Projet coordonné par Samba Résille en partenariat avec CAISA, Helsinki et en collaboration avec la compagnie Le Polymorphe et le Centre Culturel Bonnefoy NYCTALOPE est un projet mené par la Compagnie Le Polymorphe et se compose de deux étapes :L’une à Toulouse et l’autre à Helsinki avec le centre culturel Caisa. Il s’agit d’un projet participatif mené avec un groupe de 30 femmes (15 de Samba Résille et 15 du Centre Culturel Bonnefoy) qui questionne leurs rapports à l’espace public la nuit. Une traversée nocturne qui révèle les situations de tensions auxquelles peuvent être confrontées les femmes. Entre rêve et cauchemar, NYCTALOPE se saisit d’endroits typologiques particulier, un passage piéton, un arrêt de bus, une lumière sous un lampadaire, une rue étroite,… autant de situations qui révèlent des stratégies d’évitement ou de contournement. Ces endroits seront transformés et détournés, les femmes sont invitées à se les ré-approprier, à les régénérer. Il s’agit de rencontres, d’ateliers d’art plastique vivant et de performance dans l’espace public. ÉTAPE 1 > TOULOUSE – FRANCEdu 20 au 25 septembre 2021 – 13 septembre à 18h30 / Samba Résille Réunion préparatoire des 37 participantes  – du 20 au 24 septembre 18h30 > 20h  / Centre Culturel BonnefoyAteliers mouvement / chant / autodéfense / plastiques – samedi 25 septembre à 19h45 et 20h45Déambulation Nyctalope / traversée de femmesdans l’espace public la nuit… 2 Départs Place RoquelaineJauges 50 personnes par cession Les 2 représentations sont gratuitesRéservations obligatoires sur facebook >>> ÉTAPE 2 > HELSINKI – FINLANDEdu 4 au 20 octobre 2021 Nombre de personnes : 31 – 20 septembre / Samba Résille : Réunion préparatoire de la mobilité Helsinki– du 4 au 20 octobre / HELSINKI / CAISA Cultural Center * Workshops / rencontres  / débats groupes des femmes françaises et finlandaises à Caisa, centre culturel Helsinki * Visites culturelles à Helsinki– Mardi 5 à 11h : Conférence de presse / présentation des organisations partenaires : CAISA / CENTRE CULTUREL BONNEFOY / LE POLYMORPHE / SAMBA RÉSILLE à Caisa (Kaikukatu 4 B, 00530 Helsinki, Finlande)– Vendredi 8 octobre à 20h : Performance  dans les rues d’Helsinki (Helsinginkatu 1 A, Helsinki) – infos >>> Samba Résille CAISA, Finlande Cie Le Polymorphe Centre Culturel Bonnefoy Samba Résille Depuis sa création en 1992, Samba Résille, structure associative culturelle toulousaine, est profondément attachée aux valeurs inscrites dans la Déclaration universelle de l’UNESCO sur la diversité culturelle. Elles constituent les fondements associatifs de Samba Résille et par extension les fondements du Centre d’Initiatives Culturelles et Citoyennes ouvert en 2004, rue Roquelaine à Toulouse. Cet espace est un lieu polymorphe, un lieu interactif,  un espace de proximité, d’accessibilité, d’énergie, de convivialité, d’humanité ; un lieu d’ouverture, neutre et de rencontres, un des rares lieu de développement des cultures alternatives, un lieu où l’on trouve sa place facilement, un lieu populaire et non institutionnel, qui se nourrit des rencontres, se vitalise et revitalise en permanence, un lieu qui rayonne sur le territoire, un lieu vivant et vibrant, un lieu qui sort vers les quartiers populaires et permet une réappropriation du centre-ville par tous, un lieu avec un projet qui marche et qui fonctionne qui ne demande qu’à respirer, un lieu qui fait vivre une réelle démocratie participative, un lieu d’exercice citoyen. Depuis plus de 5 ans déjà, Samba Résille s’est résolument concentrée à vitaliser plus encore cet espace en mettant en synergie son territoire avec des horizons plus lointains, en multipliant les rencontres et les échanges européens et internationaux. En s’appuyant sur le Programme Erasmus+ de la Commission Européenne, Samba Résille s’attache aujourd’hui à construire des parcours d’échanges et de partages avec des partenaires européens et internationaux aux fins de développer ses compétences artistiques, techniques et managériales dans le domaine de la culture. Sous forme de mobilités, les bénévoles, les administrateurs et les salariés de l’association acquièrent de nouvelles compétences partageables au sein du territoire et de ses publics. CAISA, Finlande CAISA est un centre culturel international à Helsinki, en Finlande, créé en 1966. Caisa opère au sein de la Division Culture et Loisirs de la ville d’Helsinki, en s’appuyant sur une équipede 10 professionnels choisis pour leurs expertises et expériences complémentaires, d’environ 400 bénévoles tous les ans et ses actions s’adressent à plus de 10000 bénéficiairesdirects tous les ans. La division culture et loisirs gère plusieurs centres culturels lesquels proposent tous une programmation basée sur leurs propres spécificités tout au long del’année. En été, l’offre culturelle de la ville est également complétée par la scène Espa. Les événements sont organisés en étroite collaboration avec le secteur des arts et de la cultured’Helsinki pour développer sa région en une zone culturellement riche en promouvant les arts, la culture et la créativité. À cette fin, la Ville offre de nombreux services aux résidents,notamment des événements culturels, des spectacles, des expositions, des cours et de l’éducation artistique. Avec ces services, la ville d’Helsinki vise à garantir que sa culture soitdiversifiée et accessible à tous.Situé à Kallio près du centre-ville, Caisa s’inscrit dans cette politique culturelle municipale et vise tout particluèrement à soutenir le développement multiculturel de la ville en favorisantl’interaction des personnes de différents pays, et en fournissant des informations sur les différentes cultures et sur la société finlandaise. Caisa promeut le développement d’Helsinki en tant que ville multiculturelle en s’appuyant sur les arts et la culture comme moyens pour conduire un projet organisé autour desquestions de diversité culturelle, de ressentis individuels, d’environnement de vie, de nature, de genre, d’orientation sexuelle, de sécurités des individus et de leurs identités, decommunautés culturelles, de solidarités intergénérationnelles, ainsi que sur l’image corporelle.Caisa s’appuie sur des cycles de concerts et d’expositions qui traitent de ces questions, organise des événements fédérateurs tout au long d l’année qui mixent des résidentsd’Helsinki quelle que soit leur origine et propose des ateliers de pratiques artistique pour toutes les générations. Cie Le Polymorphe Le Polymorphe est une compagnie d’arts en espace public. Ses recherches tournent autour de la dramaturgie

Lire la suite »

IDEM – du 27 septembre au 3 octobre : Samba Résille accueille les trois délégations

Samba Résille (Toulouse, France), accueille La Fondation Pierre Verger (Salvador, Brésil), Chercheurs d’Autres (Papaïchton, Guyane) et Péniel (Porto Novo, Bénin) Dans le cadre de « Identités en mouvements » (IDEM) du 27 septembre au 3 octobre 2021 4ème étape du projet > LA LIBRE EXPÉRIMENTATION CRÉATIVE 4ème et dernière étape du projet IDEM, l’accueil de nos trois partenaires à Toulouse a pour ambition de faire la synthèse des recherches précédemment menées en Afrique et en Amérique du Sud, avec une dimension fortement créative et festive : fresque tembé sur les murs de Samba Résille, créations photonumériques et vidéomapping, musique, conte, danse et art culinaire… Cette semaine d’accueil mobilise une équipe de quarante personnes composée de jeunes, travailleurs jeunesse, artistes et administrateurs. Elle est conçue comme un espace de renforcement des compétences culturelles, artistiques, techniques et managériales des personnels et s’attache particulièrement à rendre effectifs et tangibles les travaux collaboratifs réalisés au cours du projet. Menée conjointement par les personnels de Samba Résille et des partenaires, la semaine d’accueil comprend :– des ateliers d’échanges sur les notions d’identité culturelle et de patrimoine– des ateliers photonumériques – des ateliers de montage d’exposition virtuelle– des ateliers de musique, conte et danse– des ateliers culinaires– des visites culturelles et patrimoniales (avec l’Office de Tourisme de Toulouse et le Comité Départemental de Tourisme Haute-Garonne)– la réalisation d’une fresque tembé à Samba Résille– Une soirée de clôture du projet avec la collaboration de l’artiste Na/Da  Retour sur la 1ère étape (Porto Novo – Bénin)   > LA PROMOTION D’UNE CULTURE SOURCEDu 20 au 27 avril 2019, Samba Résille (France), Chercheurs d’Autres (Guyane française) et la Fondation Pierre Verger(Brésil) ont été accueillis par l’association Péniel au Bénin pour la première des quatre mobilités du projet.Projet artistique interdisciplinaire (musique, danse et arts visuels), projet interculturel qui vise à explorer la dissémination des cultures d’Afrique de l’Ouest vers les Amériques et l’Europe, IDEM emmène une équipe internationale de 40 jeunes, artistes et professionnels jeunesse à la rencontre de la culture source béninoise.Découverte de Porto-Novo et de ses environs, du Vaudou et des Orixas ; ateliers musique, danse, arts graphiques, communication et multimédia ; mais aussi travail mémoriel sur le drame de l’esclavage et réflexion sur la notion d’afrodescendance…Retour sur la 2ème étape (Salvador – Brésil)   > LES ENJEUX DU METISSAGE CULTURELAccueillis par la Fondation Pierre Verger (célèbre photographe anthropologue français) du 21 au 27 octobre 2019, les équipes de Samba Résille, Péniel et Chercheurs d’Autres se sont immergés dans la culture afro-brésilienne (candomblé, samba de roda) pour tenter de comprendre comment les Brésiliens vivent aujourd’hui leur africanité. Retour sur la 3ème étape (Papaïchton – Guyane française)   > SAVOIRS TRADITIONNELS ET NOUVELLES TECHNOLOGIESDu 17 au 23 février 2020, troisième étape de ce parcours, la mobilité en Guyane emmène Samba Résille à la rencontre des Bushinengués, descendants d’esclaves marrons qui se sont réfugiés dans la forêt et ont adopté le mode de vie des indiens d’Amazonie. Intrinsèquement métisse, mais aussi terriblement menacée dans ses équilibres par les projets d’exploitation et la pression culturelle métropolitains, la société bushinengué tente de trouver le point d’équilibre entre mode de vie traditionnel et ouverture à l’extérieur. Plus d’informations sur le projet >>>

Lire la suite »

Interview de Fressia par Olmo

Interview réalisé par Olmo Denche, membre de Samba Résille avec Fressia Merino Espinosa, membre de A Bunda, à Göteborg, Suède lors de la mobilité du 20 au 26 août 2020. – Bonjour Fressia,Pour commencer, peux-tu te présenter ?– Bonjour, je m’appelle Fressia Merino Espinosa. Je suis péruvienne, née à Lima. Je vis en Suède depuis près de 17 ans maintenant, j’ai aussi vécu 3 ans et demi aux îles Canaries (à Gran Canaria). – Comment as-tu découvert le Samba ?– Eh bien… Quand je suis arrivé en Suède, je suis allé vivre dans un village, c’est à environ une heure et demie d’ici, de Göteborg. Là-bas je suis allée à l’école et puis, pendant le lycée, j’ai rencontré un professeur de musique. En Suède, les lycées sont spécialisés, on choisit un type de lycée qui nous intéresse : science, musique, etc. Ce professeur était de Göteborg et avait fait partie d’A Bunda. Il a commencé à recruter beaucoup de jeunes du lycée pour créer un groupe de samba dans le village. Il nous parlait toujours d’A Bunda et de Oludum (il adorait Olodum et le Samba Reggae !). Et puis j’ai commencé à apprendre, et j’ai commencé à danser avec la professeure avec laquelle vous avez dansé aujourd’hui. Paola est ma première professeure de samba. Mais j’avais honte et finalement je suis allée jouer des percussions au lieu de danser. J’ai commencé à jouer du Surdo en premier, et c’est comme ça que j’ai commencé ! – Carioca ?– Oui ! C’était du Samba Carioca, du Samba Enredo de Rio. – Et c’est comme ça que tu as appris un peu les « codes » du rythme du Samba ?– Oui, exactement. Notre professeur ne faisait plus partie d’A Bunda, mais il avait grandi avec eux et il nous en parlait toujours. À l’époque, c’était le rêve des jeunes Sambistas du village. S’installer à Göteborg et commencer à jouer avec le groupe et l’école de Samba A Bunda ! – Tout cela au lycée t’a réellement motivé. Est-ce que ça a été un moteur ?– Oui, oui, oui ! Je suis tombée instantanément amoureuse du Samba. C’était incroyable. – Et combien de temps as-tu travaillé avec ce professeur au lycée ?– C’était à l’automne 2016, c’est là que j’ai commencé avec le Samba. Ici, le lycée dure trois ans, j’ai commencé en deuxième année avec le Samba. Quand j’ai terminé, j’ai bien gardé en tête tout ce que j’avais appris sur le Samba et tout ce que la professeure de danse m’avait appris, Paola. Je pratiquais toute seul à la maison, tout le temps. J’ai volé un CD et j’ai copié les chansons qu’elle avait donné au groupe de danseurs pour s’entraîner. A cette époque, je jouais déjà et le CD tournait en boucle à la maison. L’une des premières écoles que j’ai écouté était Acadêmicos do Grande Rio, avec la chanson Enredo Amazonas. Ce n’est pas une chanson super populaire, mais elle me motivait beaucoup ! Et je dansais à la maison, avec mon « demi Samba » et le peu que je connaissais du Samba No Pé. Deux ans après m’être installé à Göteborg, j’ai commencé à A Bunda et là à automne je commence ma dixième année. – Quand tu es arrivée à A Bunda, as-tu abandonné les percussions pour te lancer dans la danse, ou as-tu fait les deux ?– Les deux, en parallèle ! Je me suis mis à apprendre le Tambourim et à danser. Ensuite, j’ai dû choisir, établir des priorités. Mais je continue à jouer chaque fois que je peux. – Depuis combien de temps danses-tu avec A Bunda ?– Depuis le début. Les percussions… C’est un passe-temps à la maison, ou parfois je vais au local pour jouer toute seul. – Et le Pagode ?– C’est venu par mon frère. Lui, il a commencé un an avant moi à A Bunda. C’est avec lui que vous avez eu l’atelier Pagode, Sébastien, et c’est lui qui m’a fait découvrir le Pagode. Quand il a commencé, il me disait : « Tu dois écouter cette musique, cette chanson, cette chanson et cette chanson ». Il m’a mis cinq cent mille chansons dans la tête, et je suis tombée encore plus amoureuse du Samba. – Donc, le Samba t’arrive aussi grâce à ton frère.– Oui. Il est très musical, il est incroyable avec les instruments. D’une certaine façon, c’est moi qui l’ait initié au Samba Bateria, au Samba Enredo, et lui m’a initié au Samba Pagode. – Toi, tu sais aussi danser.– Oui, exactement. C’est là où je le dépasse ! [rires]– Le Samba est un art populaire, la musique et la danse sont inséparables. Il y a des gens qui sont plus spécialisés dans l’une ou l’autre des disciplines.– Oui, on ne peut pas avoir l’un sans l’autre Et si on a la passion, elle nous donne envie d’apprendre. – Qu’entends-tu par Samba art populaire ?– Je dirais que c’est le mélange, quand le Samba est mélangé à d’autres styles. Le Samba, c’est quelque chose d’incroyable, la musique brésilienne en général. Il se mélange d’une certaine manière et se développe de façon incroyable, en danse comme en musique. – Depuis que tu as commencé, tu le vois dans la danse ? Est-ce que les musiques et les danses actuelles se mélangent ?  Y a-t-il des pas de danse qui vont et viennent, qui proviennent d’autres styles ?– Oui, absolument. Par exemple, dans la danse, il y a beaucoup de choses qui, auparavant, ne se faisaient que dans d’autres styles « Latin Dance », dans la Salsa, ou encore dans la Ballroom Dancing. Et maintenant, tout se mélange pour créer un monde plus grand et le rendre encore plus divers. – Pour enrichir davantage le Samba ?– Oui, bien sûr ! Bien que le Samba No pé, qui est le pas basique, soit au cœur de tout. C’est le pas que Paola vous a appris. Celui qui doit être intégré, c’est la racine. A ce pas, on peut y ajouter tout ce que l’on veut : des sauts, des

Lire la suite »

Porto – du 26 octobre au 1er novembre 2020

Le mois dernier, une équipe de Samba Résille est partie à Porto retrouver les membres du groupe Samba Sem Fronteiras afin d’approfondir son expérience de la roda de samba et sa connaissance des réseaux sambistes européens. Une fois encore, l’expérience musicale a été magique, l’accueil des musiciens chaleureux, et la ville toujours aussi belle ! D’autre part, dans le contexte d’un secteur culturel gravement mis en danger par la crise sanitaire, cette mobilité a permis également d’expérimenter les protocoles qui permettent de continuer notre aventure culturelle collective tout en garantissant la sécurité des individus. Il faudra, les mois qui viennent, continuer de s’adapter et d’être créatif pour conserver ce lien social et culturel qui est un besoin vital pour chacun de nous, tout en gardant sa lucidité sur les risques causés par cette pandémie. C’est possible ! Le groupe est d’ailleurs actuellement très mobilisé pour partager cette expérience avec tous les adhérents, et s’est emparé des outils numériques expérimentés depuis mars pour vous en faire profiter le mieux possible :https://padlet.com/sambajpchn/z9v391a4pg1g1m04 Ce programme d’échanges est financé par la Commission Européenne dans le cadre du programme Erasmus+ – Clé 1, Mobilité du personnel de l’éducation des adultes.

Lire la suite »

Samba Résille à Göteborg – Suède – du 20 au 26 août 2020

26 membres de Samba Résille partent à la rencontre de A Bunda, l’une des plus anciennes et des plus importantes école de samba en Europe.Composée de plus de 300 membres, elle est organisée autour de plusieurs pôles d’activités de formation artistique, notamment en percussions brésiliennes, danse brésilienne, théâtre de rue, arts du cirque, harmonie et chant brésilien…Cette rencontre est la seconde mobilité du projet  » Constructeurs d’espaces de coopérations multiculturelles  » est une coopération entre trois structures européennes (La Fédération finlandaise des écoles de samba, A Bunda et Samba Résille) qui utilisent le samba pour mener des actions créatives, sociales et citoyennes. La coopération vise à développer les compétences artistiques et managériales des personnels impliqués pour consolider et amplifier les réseaux sambistes en France et en Europe.Ce programme d’échanges est financé par la Commission Européenne dans le cadre du programme Erasmus+ – Clé 1, Mobilité du personnel de l’éducation des adultes. Cette mobilité consiste en un partage de compétences artistiques et techniques. Les participants pourront acquérir un apprentissage pluridisciplinaire, mêlant danse, musique, chant et partageront des séances de présentation et de discussion. Suivez cette aventure sur :Facebook : @sambaresilleInstagram : sambaresille Plus d’infos ici >>>

Lire la suite »

Revivez en vidéo le projet IDEM au Brésil

Le projet « Identités en mouvements » explore une histoire commune à trois continents, celle de la diffusion des cultures africaines à travers le monde, et leur fusion au contact d’autres civilisations. Dans ce vaste processus créolisation du monde (Edouard Glissant), la culture brésilienne occupe une place de choix, et après un superbe séjour au Bénin, les partenaires d’IDEM se retrouvent à Salvador Bahia, Brésil du 21 au 27 octobre 2019.  Découvrir la page du projet >>>

Lire la suite »

Départ imminent pour la Guyane !

Le projet « Identités en Mouvements » est un parcours pluridisciplinaire et interculturel qui s’appuie sur un patrimoine commun à trois continents : l’Afrique, l’Amérique du Sud et l’Europe. Ce patrimoine est né d’un drame historique majeur, celui de la colonisation des Amériques, de la traite négrière et du commerce triangulaire. Si les séquelles sociales, économiques et géopolitiques de cette période sont toujours présentes, il  semble légitime de se pencher aussi sur la formidable fusion culturelle alors engendrée, qualifiée par Édouard Glissant de créolisation : « creuset, lieu de fusion et de rassemblement où la disharmonie, le désordre initial ont été créateurs d’une culture inattendue, ouverte et inextricable ». LA MOBILITÉ EN GUYANEDu 17 au 23 février Troisième étape de ce parcours, la mobilité en Guyane  emmène Samba Résille à la rencontre des Bushinengués, descendants d’esclaves marrons qui se sont réfugiés dans la forêt et ont adopté le mode de vie des indiens d’Amazonie. Intrinsèquement métisse, mais aussi terriblement menacée dans ses équilibres par les projets d’exploitation et la pression culturelle métropolitains, la société bushinengué tente de trouver le point d’équilibre entre mode de vie traditionnel et ouverture à l’extérieur. Cette mobilité réunit 4 équipes de 10 personnes par structure : Samba Résille (France), Chercheurs d’autres (Guyane française), Péniel (Bénin) et la Fondation Pierre Verger (Brésil). Elle est conçue comme un espace de renforcement des compétences culturelles, artistiques, techniques et managériales des personnels et s’attachera particulièrement aux enjeux de la conciliation entre les modes de vie, savoirs traditionnels et les techniques, connaissances des sociétés contemporaines. La formation comprendra :• des ateliers de pratique artistique autour de la culture bushinengué (art tembé, musique chant et danse) ;• des modules de formation technique (documentaire, interview, communication et diffusion web) ;• des séances d’information et de discussion autour de la culture bushinengué ;• des visites d’immersion dans la culture bushinengué avec une sensibilisation aux questions environnementales. Plus d’infos >>>

Lire la suite »

Samba Résille accueille Artscape (ZA) / Suba Attila and The Soul Fool Band (HU) / Enjoy (IT)

Dans le cadre de la coopération internationale « Célébrer la diversité culturelle dans l’espace urbain » – Développer des dynamiques internationales d’échanges créatifs et accroître les compétences de coopération transnationale d’apprentissages relatives aux impératifs de sécurisation des espaces publics. Samba Résille (France) coordonne un projet soutenu par la Commission européenne (Programme Erasmus+, Ka2, Partenariat stratégique de l’éducation des adultes – échange de bonne pratiques) en partenariat avec Artscape (Afrique Du Sud), Enjoy (Italie) et Soul Fool Band (Hongrie) autour des problématiques liées à l’organisation d’événements culturels et les nouveaux impératifs de sécurisations des espaces publics. Quatrième étape du projet ! Samba Résille – France  Du 11 au 17 novembre 2019Après Cape Town en mai 2018, Turin en octobre 2018, Budapest en janvier 209, Samba Résille accueille ses partenaires italiens (Associazione Enjoy), sud africains (Artscape centre) et hongrois (Soul Fool Band) à Toulouse  pour la 4e étape de cette coopération internationale « Célébrer la diversité culturelle dans l’espace urbain », soutenue par la Commission européenne dans le cadre du programme Erasmus+ (KA2 – Partenariat stratégique dans le domaine de l’éducation des adultes). Conférence de presse – Vendredi 15 novembre 2019 à 15h00Le vélo sentimental, 12 Boulevard Bonrepos, 31000 Toulouse Programme de travail composant le projet « Célébrer la diversité culturelle dans l’espace urbain » :Mobilité 1 : Cape Town, Afrique du Sud, du 7 au 14 mai 2018Mobilité 2 : Turin, Italie, du 20 au 25 octobre 2018Mobilité 3 : Budapest, Hongrie, du 26 janvier au 1er février 2019Mobilité 4 : Toulouse, France, du 11 au 17 novembre 2019 Présentation du programme d’échanges :Aujourd’hui, les cadres réglementaires de sécurisation des manifestations culturelles dans l’espace urbain ont fortement évolué en Europe pour cause de risques d’attentats, et connaissent des débats embryonnaires et antithétiques entre acteurs culturels et autorités locales et nationales qui nécessitent de renouveler les modes de concertation et de construire des réponses pragmatiques nouvelles qui facilitent la célébration de la diversité culturelle dans l’espace public. Quelles solutions déployées ? Quelles conséquences sur la participation des publics ? Quelles sont les autres aspects sécuritaires pris en charge par les organisations culturelles (sécurité matérielle, pédagogique, affective… des parcours professionnels) ? Comment les politiques nationales favorisent et/ou freinent le déploiement des activités culturelles ? (sujet de l’après Apartheid, gouvernement hongrois populiste…). Les apprentissages dans ce projet ciblent des compétences transversales autour de 4 thèmes :• développer les capacités à s’organiser (en Afrique du Sud)• développer les capacités à communiquer (en Italie)• développer les capacités à s’adapter (en Hongrie)• développer son savoir agir (en France) Menée conjointement par Samba Résille et ses partenaires, la rencontre à Toulouse comprendra :• des tables rondes autour des procédures d’organisation d’événements dans l’espace urbain, du rôle des autorités locales et des organisations culturelles ;• des rencontres avec les autorités locales françaises (Mairie de Toulouse et préfecture) et opérateurs culturels (Carnaval de Toulouse) ;• des visites culturelles afin de garantir une véritable immersion dans l’environnement toulousain.Merci au centre culturel Espace Bonnefoy d’accueillir cette semaine de rencontre. Découvrez le projet >>>

Lire la suite »

Samba Résille à Salvador – Brésil – du 21 au 27 octobre 2019

Du 21 au 27 octobre, accueillies par la Fondation Pierre Verger (célèbre photographe anthropologue français), les équipes de Samba Résille (France), Péniel (Bénin) et Chercheurs d’Autres (Guyane) s’immergeront dans la culture afro-brésilienne (candomblé, samba de roda) et tenteront de comprendre comment les Brésiliens vivent aujourd’hui leur africanité tout en mettant l’accent sur l’importance de préserver la richesse de cette identité. Ateliers et visites culturelles alterneront afin d’explorer les rythmes, danses et chants, de comprendre le développement historique du candomblé à travers son patrimoine. Découvrez le projet >>>  

Lire la suite »

Formations Europe

Cycle formations 2020
Dans le cadre de la stratégie régionale de la DRJSCS Occitanie sur la mobilité européenne et internationale dans le domaine de la jeunesse

Lire la suite »
fr_FRFrench