Mobilité Chypre – Arts et géosciences du 05 au 12 juillet

La mobilité « Arts et géosciences : développer les capacités des acteurs et structures du secteur culturel à investir dans les enjeux environnementaux » mobilisera une vingtaine d’animateurs bénévoles (experts en géosciences, animateurs culturels et artistes) souhaitant s’investir dans le développement de ces thématiques au sein des structures du Consortium Erasmus+.

Lire la suite »

« L’Art en contre » – Départ pour Berlin

L’Art En Contre : de la médiation artistique en travail social et de la médiation sociale en travail artistique Cette mobilité fait suite à la première qui s’était déroulée en Finlande à Helsinki en mai 2022 ! Nous allons retrouver notre partenaire Piranha à Berlin en Allemagne en poursuivant l’objectif de ce projet : Faciliter l’accès à la filière culturelle dans toutes ses composantes et sur tous les métiers artistiques, techniques ou managériaux aux personnes en situation de vulnérabilité. Suivez l’avancée de ce projet sur nos réseaux sociaux ! >> Facebook >> Instagram

Lire la suite »

Nyctalope à Helsinki – Finlande / du 4 au 20 octobre

Rencontre avec Caisa, Helsinki Programme Erasmus+ KA1 Mobilités des adultes – La pépinière des émergences créatives – Projet coordonné par Samba Résille en partenariat avec CAISA, Helsinki et en collaboration avec la compagnie Le Polymorphe et le Centre Culturel Bonnefoy NYCTALOPE est un projet mené par la Compagnie Le Polymorphe et se compose de deux étapes :L’une à Toulouse et l’autre à Helsinki avec le centre culturel Caisa. Il s’agit d’un projet participatif mené avec un groupe de 30 femmes (15 de Samba Résille et 15 du Centre Culturel Bonnefoy) qui questionne leurs rapports à l’espace public la nuit. Une traversée nocturne qui révèle les situations de tensions auxquelles peuvent être confrontées les femmes. Entre rêve et cauchemar, NYCTALOPE se saisit d’endroits typologiques particulier, un passage piéton, un arrêt de bus, une lumière sous un lampadaire, une rue étroite,… autant de situations qui révèlent des stratégies d’évitement ou de contournement. Ces endroits seront transformés et détournés, les femmes sont invitées à se les ré-approprier, à les régénérer. Il s’agit de rencontres, d’ateliers d’art plastique vivant et de performance dans l’espace public. ÉTAPE 1 > TOULOUSE – FRANCEdu 20 au 25 septembre 2021 – 13 septembre à 18h30 / Samba Résille Réunion préparatoire des 37 participantes  – du 20 au 24 septembre 18h30 > 20h  / Centre Culturel BonnefoyAteliers mouvement / chant / autodéfense / plastiques – samedi 25 septembre à 19h45 et 20h45Déambulation Nyctalope / traversée de femmesdans l’espace public la nuit… 2 Départs Place RoquelaineJauges 50 personnes par cession Les 2 représentations sont gratuitesRéservations obligatoires sur facebook >>> ÉTAPE 2 > HELSINKI – FINLANDEdu 4 au 20 octobre 2021 Nombre de personnes : 31 – 20 septembre / Samba Résille : Réunion préparatoire de la mobilité Helsinki– du 4 au 20 octobre / HELSINKI / CAISA Cultural Center * Workshops / rencontres  / débats groupes des femmes françaises et finlandaises à Caisa, centre culturel Helsinki * Visites culturelles à Helsinki– Mardi 5 à 11h : Conférence de presse / présentation des organisations partenaires : CAISA / CENTRE CULTUREL BONNEFOY / LE POLYMORPHE / SAMBA RÉSILLE à Caisa (Kaikukatu 4 B, 00530 Helsinki, Finlande)– Vendredi 8 octobre à 20h : Performance  dans les rues d’Helsinki (Helsinginkatu 1 A, Helsinki) – infos >>> Samba Résille CAISA, Finlande Cie Le Polymorphe Centre Culturel Bonnefoy Samba Résille Depuis sa création en 1992, Samba Résille, structure associative culturelle toulousaine, est profondément attachée aux valeurs inscrites dans la Déclaration universelle de l’UNESCO sur la diversité culturelle. Elles constituent les fondements associatifs de Samba Résille et par extension les fondements du Centre d’Initiatives Culturelles et Citoyennes ouvert en 2004, rue Roquelaine à Toulouse. Cet espace est un lieu polymorphe, un lieu interactif,  un espace de proximité, d’accessibilité, d’énergie, de convivialité, d’humanité ; un lieu d’ouverture, neutre et de rencontres, un des rares lieu de développement des cultures alternatives, un lieu où l’on trouve sa place facilement, un lieu populaire et non institutionnel, qui se nourrit des rencontres, se vitalise et revitalise en permanence, un lieu qui rayonne sur le territoire, un lieu vivant et vibrant, un lieu qui sort vers les quartiers populaires et permet une réappropriation du centre-ville par tous, un lieu avec un projet qui marche et qui fonctionne qui ne demande qu’à respirer, un lieu qui fait vivre une réelle démocratie participative, un lieu d’exercice citoyen. Depuis plus de 5 ans déjà, Samba Résille s’est résolument concentrée à vitaliser plus encore cet espace en mettant en synergie son territoire avec des horizons plus lointains, en multipliant les rencontres et les échanges européens et internationaux. En s’appuyant sur le Programme Erasmus+ de la Commission Européenne, Samba Résille s’attache aujourd’hui à construire des parcours d’échanges et de partages avec des partenaires européens et internationaux aux fins de développer ses compétences artistiques, techniques et managériales dans le domaine de la culture. Sous forme de mobilités, les bénévoles, les administrateurs et les salariés de l’association acquièrent de nouvelles compétences partageables au sein du territoire et de ses publics. CAISA, Finlande CAISA est un centre culturel international à Helsinki, en Finlande, créé en 1966. Caisa opère au sein de la Division Culture et Loisirs de la ville d’Helsinki, en s’appuyant sur une équipede 10 professionnels choisis pour leurs expertises et expériences complémentaires, d’environ 400 bénévoles tous les ans et ses actions s’adressent à plus de 10000 bénéficiairesdirects tous les ans. La division culture et loisirs gère plusieurs centres culturels lesquels proposent tous une programmation basée sur leurs propres spécificités tout au long del’année. En été, l’offre culturelle de la ville est également complétée par la scène Espa. Les événements sont organisés en étroite collaboration avec le secteur des arts et de la cultured’Helsinki pour développer sa région en une zone culturellement riche en promouvant les arts, la culture et la créativité. À cette fin, la Ville offre de nombreux services aux résidents,notamment des événements culturels, des spectacles, des expositions, des cours et de l’éducation artistique. Avec ces services, la ville d’Helsinki vise à garantir que sa culture soitdiversifiée et accessible à tous.Situé à Kallio près du centre-ville, Caisa s’inscrit dans cette politique culturelle municipale et vise tout particluèrement à soutenir le développement multiculturel de la ville en favorisantl’interaction des personnes de différents pays, et en fournissant des informations sur les différentes cultures et sur la société finlandaise. Caisa promeut le développement d’Helsinki en tant que ville multiculturelle en s’appuyant sur les arts et la culture comme moyens pour conduire un projet organisé autour desquestions de diversité culturelle, de ressentis individuels, d’environnement de vie, de nature, de genre, d’orientation sexuelle, de sécurités des individus et de leurs identités, decommunautés culturelles, de solidarités intergénérationnelles, ainsi que sur l’image corporelle.Caisa s’appuie sur des cycles de concerts et d’expositions qui traitent de ces questions, organise des événements fédérateurs tout au long d l’année qui mixent des résidentsd’Helsinki quelle que soit leur origine et propose des ateliers de pratiques artistique pour toutes les générations. Cie Le Polymorphe Le Polymorphe est une compagnie d’arts en espace public. Ses recherches tournent autour de la dramaturgie

Lire la suite »

Interview de Fressia par Olmo

Interview réalisé par Olmo Denche, membre de Samba Résille avec Fressia Merino Espinosa, membre de A Bunda, à Göteborg, Suède lors de la mobilité du 20 au 26 août 2020. – Bonjour Fressia,Pour commencer, peux-tu te présenter ?– Bonjour, je m’appelle Fressia Merino Espinosa. Je suis péruvienne, née à Lima. Je vis en Suède depuis près de 17 ans maintenant, j’ai aussi vécu 3 ans et demi aux îles Canaries (à Gran Canaria). – Comment as-tu découvert le Samba ?– Eh bien… Quand je suis arrivé en Suède, je suis allé vivre dans un village, c’est à environ une heure et demie d’ici, de Göteborg. Là-bas je suis allée à l’école et puis, pendant le lycée, j’ai rencontré un professeur de musique. En Suède, les lycées sont spécialisés, on choisit un type de lycée qui nous intéresse : science, musique, etc. Ce professeur était de Göteborg et avait fait partie d’A Bunda. Il a commencé à recruter beaucoup de jeunes du lycée pour créer un groupe de samba dans le village. Il nous parlait toujours d’A Bunda et de Oludum (il adorait Olodum et le Samba Reggae !). Et puis j’ai commencé à apprendre, et j’ai commencé à danser avec la professeure avec laquelle vous avez dansé aujourd’hui. Paola est ma première professeure de samba. Mais j’avais honte et finalement je suis allée jouer des percussions au lieu de danser. J’ai commencé à jouer du Surdo en premier, et c’est comme ça que j’ai commencé ! – Carioca ?– Oui ! C’était du Samba Carioca, du Samba Enredo de Rio. – Et c’est comme ça que tu as appris un peu les « codes » du rythme du Samba ?– Oui, exactement. Notre professeur ne faisait plus partie d’A Bunda, mais il avait grandi avec eux et il nous en parlait toujours. À l’époque, c’était le rêve des jeunes Sambistas du village. S’installer à Göteborg et commencer à jouer avec le groupe et l’école de Samba A Bunda ! – Tout cela au lycée t’a réellement motivé. Est-ce que ça a été un moteur ?– Oui, oui, oui ! Je suis tombée instantanément amoureuse du Samba. C’était incroyable. – Et combien de temps as-tu travaillé avec ce professeur au lycée ?– C’était à l’automne 2016, c’est là que j’ai commencé avec le Samba. Ici, le lycée dure trois ans, j’ai commencé en deuxième année avec le Samba. Quand j’ai terminé, j’ai bien gardé en tête tout ce que j’avais appris sur le Samba et tout ce que la professeure de danse m’avait appris, Paola. Je pratiquais toute seul à la maison, tout le temps. J’ai volé un CD et j’ai copié les chansons qu’elle avait donné au groupe de danseurs pour s’entraîner. A cette époque, je jouais déjà et le CD tournait en boucle à la maison. L’une des premières écoles que j’ai écouté était Acadêmicos do Grande Rio, avec la chanson Enredo Amazonas. Ce n’est pas une chanson super populaire, mais elle me motivait beaucoup ! Et je dansais à la maison, avec mon « demi Samba » et le peu que je connaissais du Samba No Pé. Deux ans après m’être installé à Göteborg, j’ai commencé à A Bunda et là à automne je commence ma dixième année. – Quand tu es arrivée à A Bunda, as-tu abandonné les percussions pour te lancer dans la danse, ou as-tu fait les deux ?– Les deux, en parallèle ! Je me suis mis à apprendre le Tambourim et à danser. Ensuite, j’ai dû choisir, établir des priorités. Mais je continue à jouer chaque fois que je peux. – Depuis combien de temps danses-tu avec A Bunda ?– Depuis le début. Les percussions… C’est un passe-temps à la maison, ou parfois je vais au local pour jouer toute seul. – Et le Pagode ?– C’est venu par mon frère. Lui, il a commencé un an avant moi à A Bunda. C’est avec lui que vous avez eu l’atelier Pagode, Sébastien, et c’est lui qui m’a fait découvrir le Pagode. Quand il a commencé, il me disait : « Tu dois écouter cette musique, cette chanson, cette chanson et cette chanson ». Il m’a mis cinq cent mille chansons dans la tête, et je suis tombée encore plus amoureuse du Samba. – Donc, le Samba t’arrive aussi grâce à ton frère.– Oui. Il est très musical, il est incroyable avec les instruments. D’une certaine façon, c’est moi qui l’ait initié au Samba Bateria, au Samba Enredo, et lui m’a initié au Samba Pagode. – Toi, tu sais aussi danser.– Oui, exactement. C’est là où je le dépasse ! [rires]– Le Samba est un art populaire, la musique et la danse sont inséparables. Il y a des gens qui sont plus spécialisés dans l’une ou l’autre des disciplines.– Oui, on ne peut pas avoir l’un sans l’autre Et si on a la passion, elle nous donne envie d’apprendre. – Qu’entends-tu par Samba art populaire ?– Je dirais que c’est le mélange, quand le Samba est mélangé à d’autres styles. Le Samba, c’est quelque chose d’incroyable, la musique brésilienne en général. Il se mélange d’une certaine manière et se développe de façon incroyable, en danse comme en musique. – Depuis que tu as commencé, tu le vois dans la danse ? Est-ce que les musiques et les danses actuelles se mélangent ?  Y a-t-il des pas de danse qui vont et viennent, qui proviennent d’autres styles ?– Oui, absolument. Par exemple, dans la danse, il y a beaucoup de choses qui, auparavant, ne se faisaient que dans d’autres styles « Latin Dance », dans la Salsa, ou encore dans la Ballroom Dancing. Et maintenant, tout se mélange pour créer un monde plus grand et le rendre encore plus divers. – Pour enrichir davantage le Samba ?– Oui, bien sûr ! Bien que le Samba No pé, qui est le pas basique, soit au cœur de tout. C’est le pas que Paola vous a appris. Celui qui doit être intégré, c’est la racine. A ce pas, on peut y ajouter tout ce que l’on veut : des sauts, des

Lire la suite »

Samba Résille accueille Artscape (ZA) / Suba Attila and The Soul Fool Band (HU) / Enjoy (IT)

Dans le cadre de la coopération internationale « Célébrer la diversité culturelle dans l’espace urbain » – Développer des dynamiques internationales d’échanges créatifs et accroître les compétences de coopération transnationale d’apprentissages relatives aux impératifs de sécurisation des espaces publics. Samba Résille (France) coordonne un projet soutenu par la Commission européenne (Programme Erasmus+, Ka2, Partenariat stratégique de l’éducation des adultes – échange de bonne pratiques) en partenariat avec Artscape (Afrique Du Sud), Enjoy (Italie) et Soul Fool Band (Hongrie) autour des problématiques liées à l’organisation d’événements culturels et les nouveaux impératifs de sécurisations des espaces publics. Quatrième étape du projet ! Samba Résille – France  Du 11 au 17 novembre 2019Après Cape Town en mai 2018, Turin en octobre 2018, Budapest en janvier 209, Samba Résille accueille ses partenaires italiens (Associazione Enjoy), sud africains (Artscape centre) et hongrois (Soul Fool Band) à Toulouse  pour la 4e étape de cette coopération internationale « Célébrer la diversité culturelle dans l’espace urbain », soutenue par la Commission européenne dans le cadre du programme Erasmus+ (KA2 – Partenariat stratégique dans le domaine de l’éducation des adultes). Conférence de presse – Vendredi 15 novembre 2019 à 15h00Le vélo sentimental, 12 Boulevard Bonrepos, 31000 Toulouse Programme de travail composant le projet « Célébrer la diversité culturelle dans l’espace urbain » :Mobilité 1 : Cape Town, Afrique du Sud, du 7 au 14 mai 2018Mobilité 2 : Turin, Italie, du 20 au 25 octobre 2018Mobilité 3 : Budapest, Hongrie, du 26 janvier au 1er février 2019Mobilité 4 : Toulouse, France, du 11 au 17 novembre 2019 Présentation du programme d’échanges :Aujourd’hui, les cadres réglementaires de sécurisation des manifestations culturelles dans l’espace urbain ont fortement évolué en Europe pour cause de risques d’attentats, et connaissent des débats embryonnaires et antithétiques entre acteurs culturels et autorités locales et nationales qui nécessitent de renouveler les modes de concertation et de construire des réponses pragmatiques nouvelles qui facilitent la célébration de la diversité culturelle dans l’espace public. Quelles solutions déployées ? Quelles conséquences sur la participation des publics ? Quelles sont les autres aspects sécuritaires pris en charge par les organisations culturelles (sécurité matérielle, pédagogique, affective… des parcours professionnels) ? Comment les politiques nationales favorisent et/ou freinent le déploiement des activités culturelles ? (sujet de l’après Apartheid, gouvernement hongrois populiste…). Les apprentissages dans ce projet ciblent des compétences transversales autour de 4 thèmes :• développer les capacités à s’organiser (en Afrique du Sud)• développer les capacités à communiquer (en Italie)• développer les capacités à s’adapter (en Hongrie)• développer son savoir agir (en France) Menée conjointement par Samba Résille et ses partenaires, la rencontre à Toulouse comprendra :• des tables rondes autour des procédures d’organisation d’événements dans l’espace urbain, du rôle des autorités locales et des organisations culturelles ;• des rencontres avec les autorités locales françaises (Mairie de Toulouse et préfecture) et opérateurs culturels (Carnaval de Toulouse) ;• des visites culturelles afin de garantir une véritable immersion dans l’environnement toulousain.Merci au centre culturel Espace Bonnefoy d’accueillir cette semaine de rencontre. Découvrez le projet >>>

Lire la suite »
fr_FRFrench